J’ai toujours été choquée par l’utilisation de la « Femme-objet » pour les publicités. J’ai donc dit ma révolte à travers l’utilisation de ces publicités dans mes patchworks. Certains journaux étalant leur luxe à l’usage de femmes bien « argentées » sont particulièrement exploitables dans ce domaine. Les titres sur les ouvrages sont évocateurs.