Contrainte des lignes et des dimensions. Que faire sinon varier le choix des tissus ? J’ai utilisé des chutes de tissus de vêtements liturgiques que j’ai travaillées comme un crazy. Aux trois coins, j’ai éfrangé du tissu pour en faire des pompons.
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Pour faire le fond simulant la forêt vierge, j’ai mis des plumes d’autruches teintées sur un fond thermocollant puis recouvert d’un voile de rideau. Le piqué libre simule des végétaux. La queue de l’oiseau est faite de feuilles de velours pour bouquets secs redécoupées et superposées : cousues les unes au dessus des autres à la main. Je suis sortie de la raideur des lignes droites pour le tour. Continuer la lecture →

La musique de Rimski Korsakoff m’a inspirée mais je l’ai exprimée dans un style chinois. Je me suis alors permis de sortir du carré imposé. Ce sont des appliqués superposés dont j’avais dessiné la maquette auparavant. Le tout est rebrodé de fils métalliques. Bien sûr, le feu est présent. Le fond de la photo est noir et donne toujours ce carré.
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Thème qui m’a inspirée trois fois puisque le thème était « L’Oiseau Bleu, l’Oiseau de Feu » Appliqué de biais soulignés de paillettes.
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Thème qui m’a inspirée 2 fois, étant Mère et ayant un foyer que nous essayons de rendre chaleureux. Quoi de mieux qu’un bon feu comme le dit la chanson : « Savez-vous messieurs et mesdames, ce qu’il faut dans une maison. Quatre murs, une chaude flamme, de la joie en toutes saisons…  » Pour le feu, j’ai disposé sur de l’Avallon des chutes de couleurs chaudes et disposées comme un feu. J’ai fixé le tout au piqué machine libre. J’ai « lavé » l’avallon et ai collé cette flamme sur un rhodoïd. J’ai adouci le tout en le recouvrant dessus et dessous d’un léger voile de rideau rouge brodé d’arabesques. Pour la mère, j’ai pris le symbole égyptien de la maternité en silhouette (faite en biais tourné au fer, épinglé puis cousu à la machine)à travers laquelle on voit le père solide. Le fond est un tissus teint avec des betteraves crues et fixé au four MO.
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On ne devait faire que des carrés. Mondrian m’a tout de suite inspirée !
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Je déteste l’hiver. Pour moi, c’est la saison du froid, sans soleil, vent, brouillard, humidité. Seule la fête de Noël vient l’egayer au milieu, c’est pourquoi j’ai brodé un petit Père Noël que j’ai appliqué dans le soleil rouge. J’ai brodé au piqué libre sur les nuages et les brumes, un arbre givré dont les stalactites sont des perles. Le mouvement de l’ensemble exprime le vent.
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D’après un peintre de notre choix, j’ai voulu m’exprimer à travers Sonia Delaunay dont les couleurs et les lignes courbes m’enchantent. Et c’est tout naturellement que je m’en suis inspirée pour traduire mes rondeurs féminines. J’ai utilisé une technique simple d’appliqué machine après en avoir dessiné la maquette, toujours dans un carré de 30 x 30 cm. J’avais découvert Sonia Delaunay au Musée des textiles de Lyon et depuis je ne cesse de la découvrir.
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Toujours dans un carré de 30 x 30 cm, nous devons réaliser un écossais. J’ai choisi de faire un tissage avec des bandelettes prises dans des chutes de soie. Le tout est maintenu sur un film thermocollant.
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Le tissu « Transparences » = fleurs en tissu incluses entre deux voiles de rideau et rebrodées à la machine en fils d’argent. Le tissus « ficelles » est constitué des ficelles utilisées par notre facteur pour lier notre courrier. J’ai dé torsadé ces ficelles et les ai collées sur film transparent et y ai introduit des paillettes.
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